CONSTRUCTION DE PUITS ET APPROVISIONNEMENT D' EAU POTABLE

Pour les populations de KONA, KAGHÉGA, KADIALOUK, KOURÈGUE, GUINÈA DJILAKOUNDA, ELOLE MADIÉDIAME.
La construction, une fois le financement atteint, au fil des ans 2020/21

Promouvoir une consultation médicale gratuite dans la zone du FOGNY, ouverte à l’ensemble de la population de la région et avec la capacité de consultation pour au moins 600 personnes, avec la participation volontaire de médecins et de spécialistes, d’infirmières et d’étudiants en médecine de la faculté de Ziguinchor.

Lieu d’accomplissement, DJIBIDIONE, au siège de la Mairie de la communauté rurale, région du même nom, district de SINDIAN, Département de BIGNONA, région de ZIGUINCHOR (Sénégal)

L’un des problèmes les plus pertinents avec lesquels nous nous trouvons est la difficulté d’accès à l’approvisionnement en eau potable dans toutes les populations du Fogny du Nord. L’accès à l’eau est un droit fondamental des gens et, en tant que tel, la population de Fogny Nord veut profiter de toutes les conditions de satisfaction que cela implique.

Dans ce domaine où le conflit avec la guérilla était actif, les puits ont été utilisés stratégiquement pour affaiblir le contraire et beaucoup d’entre eux ont été empoisonnés, et donc irrécupérables. Une fois que le conflit a été apaisé, la situation est donnée que dans de nombreux domaines, de nouveaux puits n’ont pas été fouillés, et ceux qui restent sont tout à fait détériorés, lorsqu’ils ne sont pas séchés, et ne peuvent pas être utilisés.

Dans ce contexte, l’une des lacunes les plus évidentes est l’accès à l’eau potable de manière appropriée et avec des garanties de santé. Les puits existants dans la région, sauf dans  de rares cas , n’offrent aucune garantie de santé.

Afin d’alléger cette plainte, depuis 2008, l’Association CPAS travaille activement dans la région de Fogny, dans le cadre du programme Karonghen, soutenu et partiellement financé par Manos Unidas, et ayant comme principal partennaire  l’Agence Espagnole de Coopération International au Développement (AECID).

Mais ces dernières années, ce programme a considérablement réduit son budget. Et il y a des villes qui sont en dehors du rayon d’action de cette intervention et qui envisagent également les besoins détectés et insatisfaits.

C’est à ce stade que la demande se pose pour s’attaquer au problème de l’approvisionnement en eau.

La nappe phréatique de la zone est profonde et souvent sablonneuse, ce qui signifie que si les puits ne sont pas construits avec des critères contrastés de robustesse et de durabilité, ils souffrent d’une dégradation rapide. Cette fragilité des puits actuels permet l'écoulement de l’eau de pluie, sans aucune forme de filtrage et l’augmentation des possibilités de contamination de l’eau avec le risque qui en résulte pour la santé. Les nouveaux puits sont construits par des équipes de professionnels de la région spécialisées dans ce domaine, avec une vaste expérience et qui ont déjà fait d’autres actions en collaboration avec l’Association CPAS.

Certains des puits actuels dont la population est approvisionnée sont souvent éloignés des villages et le temps que les femmes utilisent pour s’assurer de l’eau domestique est très grand et l’effort à faire  très lourd. L’un des points importants où avoir de l’approvisionnement en eau potable est dans les écoles. La capacité d’avoir de l’eau pour les élèves et les enseignants permet un développement correct des activités éducatives et la garantie d’une bonne santé scolaire.