JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’HOMME 2022
Une année de plus, nous arrivons le 10 décembre et célébrons la journée internationale des droits de l’homme. Droits prétendument établis par la communauté internationale pour protéger les individus, les communautés et les populations contre les abus, la violence, l’indignation, les soumissions et l’annulation de la dignité.
Mais en fait, nous ne le célébrons en aucun cas. Cette année encore, les indicateurs de respect de ces droits et l’implication des États en tant que garants de leur respect nous indiquent que nous faisons des pas en arrière. En même temps que nous atteignons les plus hauts niveaux de technologie, les progrès médicaux, les connaissances scientifiques, les capacités techniques et l’accès à la (dés)information, nous ne sommes pas capables de changer les dynamiques qui déshumanisent, les exercices de sujétion de certaines personnes pour d’autres, le pouvoir de décider de ce que vaut une vie, le manque d’empathie qui dégrade l’autre, Le déni de la libre circulation des personnes, l’interdiction de s’exprimer librement, la peur inoculée de manière préméditée contre la différence, le rejet éhonté des plus défavorisés...
Groupe de femmes du GIE USSOFORAL travaillant dans le verger de la ville de Guinéa Djilakounda – Casamance
Nous aimerions parler des valeurs humaines qui donneraient un sens à cette caractéristique différentielle des personnes, des valeurs qui seraient le fondement des droits et en même temps le résultat des droits qui les animeraient. Nous voudrions célébrer cette journée comme le jalon franchi par les sociétés humanisées et fraternelles.
Nous savons avec certitude qu’il y a des personnes, des entités, des groupes et des communautés partout qui travaillent de manière désintéressée pour renverser la situation, faisant de ce monde malade un espace plus supportable et convivial où nous pouvons encore dessiner des sourires.
De la Fondation Kassumay, comme nous vous le disons année après année et malgré tout, sans naïveté et avec cohérence, nous continuerons à nous concentrer sur notre environnement le plus proche et aussi dans le monde entier, le respect et l’épanouissement de ceux-ci.
Mais en fait, nous ne le célébrons en aucun cas. Cette année encore, les indicateurs de respect de ces droits et l’implication des États en tant que garants de leur respect nous indiquent que nous faisons des pas en arrière. En même temps que nous atteignons les plus hauts niveaux de technologie, les progrès médicaux, les connaissances scientifiques, les capacités techniques et l’accès à la (dés)information, nous ne sommes pas capables de changer les dynamiques qui déshumanisent, les exercices de sujétion de certaines personnes pour d’autres, le pouvoir de décider de ce que vaut une vie, le manque d’empathie qui dégrade l’autre, Le déni de la libre circulation des personnes, l’interdiction de s’exprimer librement, la peur inoculée de manière préméditée contre la différence, le rejet éhonté des plus défavorisés...
Groupe de femmes du GIE USSOFORAL travaillant dans le verger de la ville de Guinéa Djilakounda – Casamance
Nous aimerions parler des valeurs humaines qui donneraient un sens à cette caractéristique différentielle des personnes, des valeurs qui seraient le fondement des droits et en même temps le résultat des droits qui les animeraient. Nous voudrions célébrer cette journée comme le jalon franchi par les sociétés humanisées et fraternelles.
Nous savons avec certitude qu’il y a des personnes, des entités, des groupes et des communautés partout qui travaillent de manière désintéressée pour renverser la situation, faisant de ce monde malade un espace plus supportable et convivial où nous pouvons encore dessiner des sourires.
De la Fondation Kassumay, comme nous vous le disons année après année et malgré tout, sans naïveté et avec cohérence, nous continuerons à nous concentrer sur notre environnement le plus proche et aussi dans le monde entier, le respect et l’épanouissement de ceux-ci.