JOURNÉE INTERNATIONALE DE L’ÉDUCATION
En 2018, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 24 janvier Journée internationale de l’éducation.
Il a été établi considérant que l’éducation est un droit de l’homme (art.26 Déclaration universelle des droits de l’homme), un bien public et une responsabilité collective.
Pour que ce droit soit possible, l’égalité des chances et l’accès universel à l’éducation sont nécessaires.
École Diembering (Sénégal)
En 2016, lors du sommet qui s’est tenu à Incheon (Corée du Sud), les objectifs de l’agenda 2030 ont été établis liés à l’éducation : une éducation inclusive, équitable et de qualité, ainsi qu’un apprentissage permanent pour tous.
Cette année, toutes les actions prévues ont été affectées par la pandémie de Covid-19. Une situation qui, dans différentes parties du monde, a provoqué l’appauvrissement de nombreuses familles, dont les enfants ont dû quitter l’école, en particulier les filles. Sans éducation de base, ces filles sont encore plus vulnérables.
Nous voulons faire référence à Malala Yousafzai, une militante pakistanaise qui a reçu le prix Nobel de la paix en 2014 pour avoir défendu et combattu le droit à l’éducation des filles et des femmes. Il a toujours été soutenu par son père, un instituteur, et sa famille. En 2012, à l’âge de 15 ans, elle a subi une attaque terroriste de la part des talibans parce qu’elle était allée à l’école, mais elle a continué les combats.
Les enfants sont souvent forcés de travailler dans des conditions déprimantes pour aider la famille. Nous vivons continuellement dans un monde plein de contradictions. Nous soutenons que les entreprises n’embauchent pas de travail des enfants (pour que les enfants puissent profiter de leur enfance et aller à l’école), mais d’un autre côté, nous continuons à acheter des produits fabriqués dans des usines où les droits fondamentaux de ces enfants sont violés.
Il est nécessaire d’observer d’autres situations comme celle de pays plongés dans la guerre où il y a une grande difficulté à fréquenter les établissements d’enseignement.
Comme pour les pays les plus développés et en quelques secondes dans lesquelles d’autres difficultés éducatives sont présentées telles que l’absentéisme scolaire ou l’abandon d’études en raison d’un désintérêt, d’une démotivation ou d’un manque d’estime de soi. Quant à la transmission des valeurs, il y a un manque de solidarité et de savoir se mettre à la place de l’autre pour le valoriser et le respecter dans ses différences.
Nous voulons également faire référence au phénomène migratoire. La formation scolaire dans les pays en développement peut inciter les jeunes à ne pas émigrer.
Nouvelle école à Kabounkout (Sénégal)
Dans ce sens, la Fondation Kassumay dans le cadre de ses projets est très consciente de l’action éducative. Une école a été construite à Kabounkout en 2014 et une école secondaire se tient actuellement à Sindian. Ainsi que la formation agricole et managériale des potagers avec des femmes ainsi que des conseils sur la transformation de leurs produits.
Nous sommes fermement engagés en faveur de l’éducation.
Il a été établi considérant que l’éducation est un droit de l’homme (art.26 Déclaration universelle des droits de l’homme), un bien public et une responsabilité collective.
Pour que ce droit soit possible, l’égalité des chances et l’accès universel à l’éducation sont nécessaires.
École Diembering (Sénégal)
En 2016, lors du sommet qui s’est tenu à Incheon (Corée du Sud), les objectifs de l’agenda 2030 ont été établis liés à l’éducation : une éducation inclusive, équitable et de qualité, ainsi qu’un apprentissage permanent pour tous.
Cette année, toutes les actions prévues ont été affectées par la pandémie de Covid-19. Une situation qui, dans différentes parties du monde, a provoqué l’appauvrissement de nombreuses familles, dont les enfants ont dû quitter l’école, en particulier les filles. Sans éducation de base, ces filles sont encore plus vulnérables.
Nous voulons faire référence à Malala Yousafzai, une militante pakistanaise qui a reçu le prix Nobel de la paix en 2014 pour avoir défendu et combattu le droit à l’éducation des filles et des femmes. Il a toujours été soutenu par son père, un instituteur, et sa famille. En 2012, à l’âge de 15 ans, elle a subi une attaque terroriste de la part des talibans parce qu’elle était allée à l’école, mais elle a continué les combats.
Les enfants sont souvent forcés de travailler dans des conditions déprimantes pour aider la famille. Nous vivons continuellement dans un monde plein de contradictions. Nous soutenons que les entreprises n’embauchent pas de travail des enfants (pour que les enfants puissent profiter de leur enfance et aller à l’école), mais d’un autre côté, nous continuons à acheter des produits fabriqués dans des usines où les droits fondamentaux de ces enfants sont violés.
Il est nécessaire d’observer d’autres situations comme celle de pays plongés dans la guerre où il y a une grande difficulté à fréquenter les établissements d’enseignement.
Comme pour les pays les plus développés et en quelques secondes dans lesquelles d’autres difficultés éducatives sont présentées telles que l’absentéisme scolaire ou l’abandon d’études en raison d’un désintérêt, d’une démotivation ou d’un manque d’estime de soi. Quant à la transmission des valeurs, il y a un manque de solidarité et de savoir se mettre à la place de l’autre pour le valoriser et le respecter dans ses différences.
Nous voulons également faire référence au phénomène migratoire. La formation scolaire dans les pays en développement peut inciter les jeunes à ne pas émigrer.
Nouvelle école à Kabounkout (Sénégal)
Dans ce sens, la Fondation Kassumay dans le cadre de ses projets est très consciente de l’action éducative. Une école a été construite à Kabounkout en 2014 et une école secondaire se tient actuellement à Sindian. Ainsi que la formation agricole et managériale des potagers avec des femmes ainsi que des conseils sur la transformation de leurs produits.
Nous sommes fermement engagés en faveur de l’éducation.